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4 comments
  1. Clément

    Bravo, super reportage, c’est clair et concis !

    « Jamais sûr du résultat »… bon, ce n’est pas faux, mais je trouve dommage que le grand public dise souvent ça de l’argentique. On en arrive à ce que l’on me dise lorsque j’expose des tirages : « c’est une bonne qualité, c’est vraiment de l’argentique ? ». C’est un peu triste…

  2. Jean michel lefebvre

    Super , il n’y a pas assez de sujets sur l’argentique dans les médias.
    Pour la photo qui prends son temps fais des choix dans ce monde de l’immédiateté et du superficiel

  3. michel MAGNIER

    Ouais … C’est succin et réduit !
    Vivre avec son temps ? Pourquoi ? ou Pourquoi pas ?
    Mais, on ne retrouve jamais de comparatifs exhaustifs et équilibré entre les deux techniques. C’est peut-être tout simplement qu’en fait, il n’y a pas deux techniques. A mon sens, c’est là l’erreur !

    Entre argentique et numérique, qu’y a-t-il de différent ? En fait rien dans l’acte de photographier. Seulement dans le moyen de restituer l’image.

    Si ! j’oubliais une notion essentielle : à l’époque de l’argentique, entre la prise de vue et la lecture d’une photo, il y avait l’intervention d’un professionnel qu’on appelait alors « photographe ». Depuis l’avènement du numérique, chacun croit qu’il suffit de prendre un téléphone ou un trombone à coulisse pour faire une photo. Si on fait disparaître cette idée aussi sotte que grenue, on arrive à faire des chose « comme à l’époque de l’argentique »

    En fait, le photographe qui transformait la pellicule est mort. Et n’importe qui imagine qu’il peut être le photographe qui prend des images. C’est peut-être là qu’il faut aller voir.

    Et on se rendra compte qu’avec le numérique, c’est quand-même mieux si on veut être les deux photographes décrits ci-dessus.

    Mais, voilà : c’est un métier.

    J’oubliais : j’ai toujours mon EOS 5 et mon Mamiya C3.

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